
Discussion autour de la PrEP et de notre expérience à l’hôpital pour Néon

Sexologue – Thérapeute de couple
Depuis que vous avez repris le chemin du travail, vous croulez sous les dossiers, vous êtes fatiguée, vous sentez que la flamme du désir n’est plus aussi vive qu’avant ou votre libido a fondu avec la canicule ? Au contraire, vos désirs sexuels vous titillent toute la journée mais c’est votre partenaire qui n’a pas envie de passer à l’action sous vos draps ?
Qu’il s’agisse de l’ordre de quelques jours, semaines ou mois, cette baisse de votre vie sexuelle commence à vous peser et vous ne savez pas comment la gérer ? Et si la solution était, justement, d’instaurer avec votre partenaire une pause officielle dans vos relations sexuelles ?
Cette idée pas si farfelue que ça est soutenue par Claire Alquier, sexologue dans le IXème arrondissement de Paris. Elle explique à RTL Girls le bénéfice d’une telle pause de la vie sexuelle de son couple.
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Pas facile de passer le cap et d’aller voir un sexologue pour se confier sur ses problèmes intimes. Alors on a fait le travail pour vous et on a fait appel à Claire Alquier, sexologue et thérapeute de couple à Paris, pour élucider le mystère des questions les plus abordées dans un cabinet de sexologue.
Claire Alquier : De manière générale, c’est la question de la norme qui se pose énormément. Comment moi je me vis dans mon intimité par rapport aux autres. Est ce que je suis normal(e) d’avoir envie ou pas envie ? Il existe chez mes patients un besoin de réassurance. « Je ne me sens pas connecté(e) avec mes envies. » revient beaucoup, surtout chez les femmes entre 25-45 ans qui ne sont pas encore dans le lâcher-prise.
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J’arrive à 19h30 aux dessous d’Orphée, un lieu qui soutient le cabinet de curiosité féminine. C’est Claire, sexologue, qui m’accueille. Elle me propose de me servir un jus de fruit et de rejoindre les autres femmes qui sont déjà arrivées. Des canapés vieillis par le temps reposent contre les murs bleu roi. Dans le fond de la pièce une micro-scène avec un piano. Je me croirais dans un bar d’une autre époque.
Nous nous installons toutes autour de petites tables sur lesquelles sont déposés des amuses-gueules. Nous sommes collées les unes aux autres, ça resserre les liens. A côté de moi il y a Hélène, 18 ans, à la limite de la rupture avec son copain, et Catherine, la soixantaine, cheveux grisonnants et petites lunettes rondes. Juste en face il y a Clara, 25 ans, qui est venue accompagnée de ses deux copines. Le trio se décrit comme des femmes libres et décomplexées.
Une fois la pression redescendue et quelques questionnements perso échangés les unes avec les autres, Claire nous propose une petite revue historique de la masturbation, qui fait partie du plaisir solitaire féminin.
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Sachez néanmoins que la sur-connexion sexuelle ne commence pas lorsque vous vous procurez votre premier Occulus Rift, non. Les racines du phénomène sont déjà dans votre téléphone puisqu’elles résident dans toutes les applications et sites de rencontre. On vous rassure, il ne suffit pas d’être complètement graphomane sur les réseaux pour être sur-connecté. Quoique.
Pour nous éclairer un peu sur la partie empirique de ce terme, nous avons contacté Claire Alquier, sexologue et thérapeute de couple. Elle distingue deux versants complémentaires de la sur-connexion sexuelle : d’un côté les applications et sites de rencontre, de l’autre le matériel technologique qui, lui, fait davantage appel aux sens. Explications.
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« En général, les patients qui viennent me voir ont entre quarante à soixante ans, témoigne Claire Alquier, sexologue et thérapeute à Paris. C’est là que surviennent les premières difficultés, souvent couplées avec des soucis professionnels. » Et, comme bon nombre de ses collègues, Claire Alquier est rapidement confrontée, au début de ses rendez-vous, à la question de l’efficacité de la « pilule-miracle ». Qu’elle n’écarte pas forcément : « Quand on a été frappé par la maladie, qu’on est dans un processus thérapeutique, c’est une bonne solution. Mais elle doit rester temporaire. » D’autant, ajoute-t-elle, que « la sexualité ne passe pas forcément par la pénétration ».
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Conserver des souvenirs d’une ancienne relation n’empêche pas forcément d’aller de l’avant. Et s’en débarrasser n’est pas l’assurance de faire table rase du passé.
«Je suis convaincue que le fait de garder des objets permet de garder un peu la relation, appuie Claire Alquier, sexologue et thérapeute de couple à Paris. On retient le souvenir et le fait que la relation ait existé. C’est nécessaire, voire valorisant. On se dit qu’on ne s’est pas investi pour rien. Là où c’est ambivalent, c’est que si le souvenir est important, il peut aussi être très douloureux.»
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CINÉMA – C’est un éternel débat. Il y a ceux qui pensent que l’amitié homme-femme existe -vraiment- et ceux qui sont persuadés qu’entre deux personnes hétérosexuelles de sexe opposé, l’attirance charnelle est inévitable.
Avec son film « Ami-Ami », en salle ce mercredi 17 janvier, Victor Saint Macary relance ce débat vieux comme le monde en mettant en scène Vincent, un parisien fraîchement célibataire. Déprimé par sa dernière rupture, il décide d’emménager avec sa meilleure amie, Nefeli.
Face aux sceptiques qui ne croient pas que l’amitié entre deux personnes de sexe opposé puisse exister, Le HuffPost a choisi de clarifier la situation une fois pour toutes: Peut-on être dans une amitié homme-femme sans coucher ensemble?
« L’être humain est d’une nature profondément sexuelle »
C’est une question dans l’ère du temps. D’après la psychothérapeute Karine Grandval, la notion d’amitié entre deux personnes de sexe opposé serait assez récente: « Il y a encore une cinquantaine d’années, il n’y avait pas encore de place pour l’amitié homme-femme parce qu’ils n’avaient pas l’occasion de se côtoyer, les écoles n’étaient pas mixtes et les femmes ne travaillaient pas. C’est donc un phénomène assez récent », racontait la psychologue le 30 juillet dernier dans une tribune du HuffPost.
« Ça fait aussi partie de la relation amicale et ça n’est pas forcément grave. »
Pour la sexologue et thérapeute de couple Claire Alquier, une amitié n’est pas figée. L’ambiguïté peut naître. Dans une relation amicale qui dure pendant plusieurs années, l’affection que l’on ressent pour l’autre évolue au fur et à mesure: « On peut tout à fait considérer que, dans une histoire d’amitié, il puisse arriver, à un moment de leurs vies, pas forcément au même moment, mais qu’il y ait une attirance sexuelle et/ou sentimentale pour l’autre. Pour moi, ça fait aussi partie de la relation amicale et ça n’est pas forcément grave. »
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Cela fait 49 ans que la loi Neuwirth, autorisant l’usage des contraceptifs, est entrée en vigueur. En 2010, d’après le baromètre santé de l’Inpes [1], 90,2% des femmes sexuellement actives, ayant un partenaire homme, non enceintes et ne cherchant pas à avoir un enfant, utilisent une méthode de contraception. Pourtant, 220 000 avortements sont pratiqués chaque année. Si ce chiffre est stable depuis 2006, il représente néanmoins une grossesse sur cinq [2] non désirée.
En quelques années, les méthodes contraceptives se sont pourtant beaucoup diversifiées. Chaque femme, homme, couple a donc la possibilité de choisir le moyen contraceptif qui lui convient le plus. Et c’est ce qui parait primordial : utiliser une méthode adaptée, propre à chacun, en tenant compte de son mode de vie, de sa situation médicale, de sa personnalité… c’est en garantir une meilleure efficacité.
Le dispositif intra-utérin, DIU, stérilet :
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Cornettes de bonnes sœurs, robes à paillettes, accessoires décalés et maquillages éblouissants, voilà comment reconnaître les Sœurs de la Perpétuelle Indulgence. Vous les avez peut-être déjà vues officier sur fond de musique disco à Solidays, défiler, tenir des stands dans diverses manifestations, ou arpenter très régulièrement les rues et bars de Paris (mais pas que).
Rencontre avec Sœur Rose de la Foi de ta Mère et Sœur Maria-Culass du couvent de Paname, pour une discussion à bâtons rompus sur le mouvement des Sœurs, leur engagement, actions, observations et questionnements. La messe fut dite.
Qui sont les Sœurs de la Perpétuelle Indulgence ?
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