
« En général, les patients qui viennent me voir ont entre quarante à soixante ans, témoigne Claire Alquier, sexologue et thérapeute à Paris. C’est là que surviennent les premières difficultés, souvent couplées avec des soucis professionnels. » Et, comme bon nombre de ses collègues, Claire Alquier est rapidement confrontée, au début de ses rendez-vous, à la question de l’efficacité de la « pilule-miracle ». Qu’elle n’écarte pas forcément : « Quand on a été frappé par la maladie, qu’on est dans un processus thérapeutique, c’est une bonne solution. Mais elle doit rester temporaire. » D’autant, ajoute-t-elle, que « la sexualité ne passe pas forcément par la pénétration ».
Lire la suite de l’article sur LCI